lundi 16 mars 2015

The Rage, de Robert Kurtzman (2007)

États-Unis, 2007
Réalisation : Robert Kurtzman
Scénario : John Bisson, Robert Kurtzman
avec : Andrew Divoff, Erin Brown (aka Misty Mundae), Ryan Hooks, ...


De quoi ça parle ?


Un savant fou inocule la rage à des cobayes humains franchement pas volontaires. Mais l'un d'eux va s'échapper, et le docteur lui-même va être infecté.

Bouh que c'est laid !


Et c'est comment ?


Le zomblarophile : - OK, OK, c'est pas des zombies mais des infectés. Soit.
Cinématographiquement parlant ça donne à peu près la même chose. 
Les effets gore et caoutchouc à l'ancienne sont pas mal foutus. Un peu moches, mais ça fait partie du jeu.
Par contre, amis réalisateurs, il va falloir arrêter d'essayer d'utiliser des images de synthèse quand vous n'avez pas le budget pour bien les faire. Franchement, pour les putains d'oiseaux qui volent à l'image, je préfèrerais des piafs en peluche avec une ficelle qui se voit plutôt que ces hideux CGI tout pourraves.

L'insomniaque : - Je tiens pour ma part à souligner l'efficacité somnifère de ce film, dont je n'ai vu que la première heure, et encore...

- Oui parce que bon, autant le dire, on est loin d'être face à un chef-d’œuvre. On retiendra que le gore est très présent, et que, c'est suffisamment rare pour être mentionné, des mioches se font dégommer de manière très violente.

Fuyez ! Ils ont des vautours zombies !




L'esthète : - D'ailleurs j'aimerais bien voir un long-métrage en entier, un de ces quatre, parce que ces derniers temps, la tendance est aux mauvais films devant lesquels on s'endort.
- Attends, on ne sait jamais, peut-être ai-je raté le super grand final qui sauve tout. Mais tant pis, fallait le mettre au début ton grand final si tu voulais que je le voie.

Note globale : 1/6
L’œil du voyeur : 3/6
Test de Bechdel : 2/3
Vautours zombies : ~10


On peut jeter un œil ?





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L'anarchiste : - Tu veux dire un truc ? Tu veux que je te prête ma VHS ? C'est ici que ça se passe. Exprime-toi. À priori je ne modère pas les commentaires. Ne m'y force pas, merci. Bisous.