États-Unis, 2010
de Eric Forsberg
avec : Tiffany, Paul Logan, Barry Williams, ...
De quoi ça parle ?
Jason Fitch est un vrai bonhomme. Du coup, quand l'ambassadeur des Etats-Unis et le ministre des affaires étrangères vénézuélien disparaissent lors d'un voyage en bateau, c'est lui qu'on appelle. Seulement une scientifique lui jacte aux oreilles à propos de piranhas mutants. Ah, les gonzesses...
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Le quota nichons, au début du film (et de la chronique) |
Et c'est comment ?
L'intellectuel : - Affligeant. Les personnages sont tous des stéréotypes ambulants. Les dialogues ne tiennent pas debout. L'ensemble est un amoncellement de clichés navrants.
L'esthète : - Les effets spéciaux sont hideux. Vraiment.
Le nanardeur : - Mais je dois avouer m'être bien marré en le regardant. Plus on avance, plus il faut se pincer pour croire à ce qu'on voit. J'ai fini secoué de spasmes nerveux. La fin en particulier ne fait aucun sens.
- J'allais le dire.
- C'est très abrupt. On a buté un piranha (oui, UN !), on est contents, on sort de l'eau, j'embrasse la meuf, générique. Ouah !
Note globale : 2/6
L’œil du pervers : 2/6
Test de Bechdel : 1/3
Suspension d'incrédulité : maximale
Visionnages de la fin pour y croire : 2
On peut jeter un œil ?
un extrait (mythique) :
La bande-annonce :
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L'anarchiste : - Tu veux dire un truc ? Tu veux que je te prête ma VHS ? C'est ici que ça se passe. Exprime-toi. À priori je ne modère pas les commentaires. Ne m'y force pas, merci. Bisous.