États-Unis, 1933
Réalisation : Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsack
Scénario : James A. Creelman et Ruth Rose
sur une idée de Merian C. Cooper et Edgar Wallace
avec : Fay Wray, Robert Armstrong, Bruce Cabot, ...
De quoi ça parle ?
Un réalisateur de films d'aventures se voit contraint de trouver une actrice pour son prochain film, qu'il compte tourner sur une île mystérieuse. Une fois là-bas, l'équipe perturbe une cérémonie indigène. Par conséquent, la jeune femme doit être sacrifiée à Kong, le gorille géant vivant sur l'île.
Et c'est comment ?
L'esthète : - Un grand classique. Ce film a influencé tant d’œuvres que même sans l'avoir jamais vu, tout le monde est familier avec son esthétique et avec ses plans les plus emblématiques, maintes fois repris, imités et revisités.
Les effets spéciaux sont bien évidemment de facture simple, et immédiatement décelables. Mais il faut bien reconnaître que l'animation en stop-motion de Kong et des autres monstres est très bien réalisée la plupart du temps, laissant voir les émotions délicates du puissant Kong. Rien d'étonnant à ce que ce film ait coupé le souffle aux spectateurs de l'époque.
L'obsédé : - Je comprends tout à fait King Kong. Si j'avais Fay Wray dans les mains je voudrais la déshabiller tout pareil.
Note globale : 5/6
L’œil du pervers : 2/6
Test de Bechdel : 0/3
Grat-grat : 1
Grat-grat : 1
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L'anarchiste : - Tu veux dire un truc ? Tu veux que je te prête ma VHS ? C'est ici que ça se passe. Exprime-toi. À priori je ne modère pas les commentaires. Ne m'y force pas, merci. Bisous.