Réalisation : Robert Wiene
Scénario : Carl Mayer, Hans Janowitz
avec : Werner Krauss, Conrad Veidt, Friedrich Feher, Lil Dagover, ...
De quoi ça parle ?
Ça parle d'un hypnotiseur, d'un somnambule qui prédit l'avenir. Ça parle de meutre, ça parle de folie.
Et c'est comment ?
Le moderne : - C'est sûr que quand on regarde un film qui a plus d'un siècle, il y a quelques trucs qui font tiquer. Le rythme, par exemple, est loin de celui d'un blockbuster moderne. Le jeu, également, est très appuyé, au point que quand les gens sont tristes, effrayés ou désespérés, on a quand même pas mal envie de se foutre de leur gueule.
Le classique : - En revanche, du point de vue de l'image, il y a une maîtrise assez exceptionnelle. Les décors (très très caractéristiques de l'expressionnisme allemand) sont à tomber par terre.
- Oui, très littérallement. Y'a pas un angle droit, tout est bancal. N'y allez pas, vous allez tomber.
- Gnagnagna.... Tiens, parlons de modernisme. Je ne m'attendais pas, dans un film de 1920, à avoir un twist final qui te fait réévaluer tout ce que tu as vu avant.
Checklist
Fête foraine : oui
Asile psychiatrique : oui
Papillon : non
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
L'anarchiste : - Tu veux dire un truc ? Tu veux que je te prête ma VHS ? C'est ici que ça se passe. Exprime-toi. À priori je ne modère pas les commentaires. Ne m'y force pas, merci. Bisous.