dimanche 9 août 2020

Été, en mode brèves





Je refais un toit et je bois des coups avec les gens qui m'aident. J'ai un peu le temps de regarder des films, mais pas celui de faire un article pour chacun. On se contentera donc de quelques phrases.




En plus je me tape des suites et des suites de suites tellement j'ai commencé de sagas. Enfin bon allez c'est parti.

Rocky III (Rocky 3 : L'Œil du tigre), de Sylvester Stallone (1982)

C'est bien fait. Y'a vraiment de très bonnes scènes. Mais j'ai moins vibré qu'aux précédents. Peut-être que ça va mal à Rocky d'être riche.
 

La Rivière, de Michel Houellebecq (2001)

Un court-métrage vaguement porno. Une ode à l'utopie lesbienne de la part d'un vieux mec cisgenre hétéro c'est un peu gerbant.

Scream, de Wes Craven (1996)

Je dois avouer que j'aime bien. C'est assez malin pour faire quand même un peu peur (les suites n'y arriveront pas) tout en respectant les codes du slasher qui te sont exposés dans le film. La fin vire dans le nawak avec les laissés pour morts qui se relèvent jusqu'au ridicule. Dommage que ça ait lancé la vague dite des néo-slashers, qui n'ont pas le charme de la vague des années 80 (en tout cas pour un vieux con comme moi)

Scream 2, de Wes Craven (1997)

Même recette que le 1, le fil rouge étant que les suites c'est nul. Une bonne idée : un film (Stab) relate les événements de Scream. La fin c'est n'importe quoi. Sympathique mais pas indispensable.

Scream 3, de Wes Craven (2000)

De plus en plus méta et de moins en moins bon. Les acteurs de la suite de Stab  se plaignent de jouer dans un film de merde. Et la fin n'a aucun sens.

Iron Man 3, de Shane Black (2013)

Ça n'a pas marché sur moi. Il y a plein de bonnes idées, des scènes qui passent bien individuellement, mais la mayonnaise n'a pas pris.

Scream 4, de Wes Craven (2011)

Hé ben pour le coup c'est une bonne surprise. C'était peut-être une question d'humeur, ou peut-être le fait que le film assume complètement d'être dans l'autoparodie, mais je trouve que c'est le meilleur de la saga après le premier.

Spider-Man 3, de Sam Raimi (2007)

Deux essais. Endormi deux fois. Pourquoi ? Je ne sais pas. 

Rasta Rockett (Cool Runnings), de John Turteltaub (1993)

Je l'avais pas vu depuis que j'étais gosse. Le fin m'a mis la larme à l’œil. Et ça a plu à la gosse.

Eurociné, 33 Champs-Élysées, de Christophe Bier (2013)

Un regard sur l'histoire d'une boîte de production de films petit budget en France. On apprend plein de trucs.
 

The Intern, de Erika Lust (2020)

Un scénario pas foufou, mais une belle alchimie sexuelle. Et le consentement c'est sexy.

Rocky IV (Rocky 4), de Sylvester Stallone (1985)


Alors non là c'est vraiment trop. Le scénario en fait vraiment trop des tonnes. Le film est repêché par les prestations de Stallone et surtout Lundgren.


Cogne-leur la gueule pour acheter le film


Raiponce (Tangled), de Byron Howard et Nathan Greno (2010)

Je trouve beaucoup de charme à ce Disney-là.

Superman: Brainiac Attacks, de Curt Geda, (2006)

Mouaif, bon. Passons.

Marvel's Daredevil, saisons 1 et 2 (2015, 2016)

Y'a de bons côtés. Pendant que les Avengers luttent contre des menaces cosmiques, il faut bien des super-héros plus normaux pour s'occuper du crime organisé. Au fond c'est une série d'action/arts martiaux.
Son pouvoir c'est d'être aveugle (oui), du coup malheureusement il s'arrange pour se battre dans le noir, ce qui limite l'intérêt des combats.
Je me suis souvent endormi.

The Uranus Experiment 2, de John Millerman (1999)

Notable pour contenir la seule fellation filmée en apesanteur réelle et rendue publique.

Black Mirror, saison 1 (2011)

Un feeling à la Twilight Zone, mais moderne.

Karaté Kid, de John G. Avildsen (1984)

J'avais jamais vu, dis donc.
Ben c'est comme Rocky sauf qu'il gagne à la fin.



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