samedi 16 juillet 2016

Terminator Renaissance (Terminator Salvation), de McG (2009)

États-Unis, 2009
Réalisation : McG
Scénario : John Brancato, Michael Ferris
avec : Christian Bale, Sam Worthington, Anton Yelchin, ...


De quoi ça parle ?


En 2018, John Connor se comporte comme le Messie de l'humanité comme on le lui a appris. Mais le commandement centralisé de la Résistance ne le prend pas tant que ça au sérieux. Cela va-t-il changer avec l'arrivée de Marcus, conduit à la Résistance par un jeune adolescent nommé Kyle Reese ? Ben on s'en fout.


Et c'est comment ?


Le râleur : - Un sacré gâchis. Les gens qui ont commis ça n'ont rien compris à la saga Terminator. Le film se déroule après l'Apocalypse (aucun intérêt), le héros est John Connor (on s'en fout, vous avez pas capté que la vraie héroïne de tout ça c'est Sarah Connor, bande de buses ?), pas de voyage dans le temps (putain mais what the fuck ?). Globalement, il n'y a pas de tension dramatique, et tous les personnages sont insignifiants. Impossible même de savoir quelles sont les œuvres précédentes qui sont prises en compte dans leur timeline, tellement les gens en charge de ce bousin ne pensent qu'à balancer leurs images de synthèse. Ils placent TOUTES les phrases iconiques de la saga ("I'll be back", "Suis-moi si tu veux vivre", "Il n'y a pas de destin", ...) mais tout tombe à plat.



Note globale : 2/6
L’œil du pervers : 2/6
Test de Bechdel : 1/3
Schwarzy jeune en images de synthèse : 1

 

Et ça se trouve où ?


On peut le trouver, avec toute la filmo du musculeux Autrichien sur l'excellent site Warning Zone, en cliquant sur le robot





On peut s'arracher les yeux ?





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L'anarchiste : - Tu veux dire un truc ? Tu veux que je te prête ma VHS ? C'est ici que ça se passe. Exprime-toi. À priori je ne modère pas les commentaires. Ne m'y force pas, merci. Bisous.