de René Laloux
d'après le roman Les Hommes-machines contre Gandahar de Jean-Pierre Andrevon
De quoi ça parle ?
La vie est douce à Gandahar, en harmonie avec une nature adaptée génétiquement.
Quand de êtres métalliques commencent à ravager le pays, le Conseil féminin envoie en reconnaissance un jeune servant.
Et c'est comment ?
L'esthète : - Tous les designs sont de Philippe Caza, et ça se voit. Les décors sont sublimes. Le trait a bien sûr dû être simplifié pour les éléments animés, mais sa patte est présente tout du long. Du coup, les personnages, les machines, tout ce qui est à l'image est vraiment canon.
Le râleur : - Mais parlons de l'animation. Faite au rabais en Corée du Nord, elle n'est largement pas à la hauteur de ce que le scénario demandait. C'est tout raide et tout figé, même pour l'époque. Ça rappelle les heures les plus sombres de Récré A2.
Le doc Brown : - Le scénario, lui, est aux petits oignons. C'est sûr qu'en partant d'un bouquin d'Andrevon, on a une bonne base. Un film qui ne se casse pas complétement la gueule sur un sujet tel que le voyage dans le temps, c'est rare.
- Mais c'est cruellement desservi par les voix, pour la plupart désespérément plates.
Checklist
Nombre maximal de visages sur un personnage : 5
Nombre minimum de têtes sur un personnage : 0
Nombre maximum de seins sur un personnage : 4
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L'anarchiste : - Tu veux dire un truc ? Tu veux que je te prête ma VHS ? C'est ici que ça se passe. Exprime-toi. À priori je ne modère pas les commentaires. Ne m'y force pas, merci. Bisous.