mardi 23 septembre 2025

A Clockwork Orange (Orange mécanique), de Stanley Kubrick (1971)

 
Angleterre, États-Unis, 1971
de Stanley Kubrick
d'après le roman d'Anthony Burgess
avec : Malcolm McDowell, Patrick Magee, Adrienne Corri, Michael Bates, ...
 

De quoi ça parle ?

 
Alex et ses drougs sèment la terreur dans les rues. L'ultraviolence est aidée par du lait au synthémeth ou au drenchrome. Saura-t-il se réinsérer dans la société ?

 

Et c'est comment ?

 
- Je vais commencer par dire que c'est foutrement plus facile d'écrire des conneries sur des nanars inconnus que de trouver des choses intelligentes à dire sur des chefs-d'oeuvre tournés par des génies du cinéma. À force de voir ou revoir des classiques (qui souvent ne le sont pas pour rien), je me confronte aux limites de ma légitimité à écrire et de ma pertinence.
 

 
 
- Bah il est temps de se remettre aux slashers et aux super-héros, gros.
 
- Oui, ça viendra bien assez tôt.
 

 
 
- Sinon, pour parler du film, il est évidemment tout à fait saisissant visuellement. Kubrick a toujours su composer ses cadres.
 
- Et on a des gens qui parlent tout près de la caméra en grand angle. On dirait que Kubrick avait mangé un Terry Gilliam ce jour-là.
 
- Et le propos sur les différents types de violence de la société est toujours d'actualité, sans le moindre doute.
 

 

Checklist

 
Good ol' in-out in-out : oui
Devotchkas : oui
Darth Vader : presque
Déco intérieure hideuse des années 70 : oui

On peut jeter un œil ?




1 commentaire:

L'anarchiste : - Tu veux dire un truc ? Tu veux que je te prête ma VHS ? C'est ici que ça se passe. Exprime-toi. À priori je ne modère pas les commentaires. Ne m'y force pas, merci. Bisous.