États-Unis, Angleterre, 1981
de John Boorman
d'après Le Morte d'Arthur, de Thomas Malory
avec : Nigel Terry, Helen Mirren, Nicholas Clay, Cherie Lunghi, Paul Geoffrey, Nicol Williamson, ...
De quoi ça parle ?
Le film raconte l'histoire du roi Arthur, de sa conception à sa mort.
Et c'est comment ?
Le psychonaute : - Houlala c'est sérieusement barré ! J'avais vu plusieurs fois ce film étant gamin, mais la redécouverte m'a montré à quel point le film était lourdement symbolique tout le temps.
L'anarchiste : - J'en suis à me demander quel est le propos politique deriière ce film. J'ai l'impression que bien des aspects de l'arthuriana sont traités, notamment sur leur aspect symbolique, mais que le film s'abstient de porter un jugement. Mais j'interrogerai les plus grands spécialistes, genre William Blanc, pour m'en assurer.
Le GNiste : - Bon, pour ce qui est de la vraisemblance historique, on est loin du compte, avec des chevaliers qui quittent rarement leurs armures de plates complètes au tout début du Moyen-Âge. Par contre on peut se fendre la gueule en les voyant essayer de se courir après dans la boue avec leurs armures de 60 kg. Autant dire que ça va pas vite.
- Quoi qu'il en soit, je me suis vraiment régalé à redécouvrir ce classique, qui réussit presque tout le temps à nous faire oublier les incarnations moins sérieuses qu'on a vues de ces personnages (des Monty Python à Alexandre Astier, en passant par Disney, on ne nous a pas épargnés en versions ridicules des mythes arthuriens). Merlin, à ma grande surprise, y est le principal ressort comique.
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| Léodagan et Guenièvre, un peu plus classes que dans Kaamelott |
Checklist
Charme Suprême : oui
Inceste : oui
Dame du lac : oui
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L'anarchiste : - Tu veux dire un truc ? Tu veux que je te prête ma VHS ? C'est ici que ça se passe. Exprime-toi. À priori je ne modère pas les commentaires. Ne m'y force pas, merci. Bisous.