Etats-Unis, 1968
Réalisation : Franklin J. Schaffner
Scénario : Michael Wilson et Rod Serling
d'après le roman de Pierre Boulle
avec : Charlton Heston, Roddy McDowall, Kim Hunter, ...
De quoi ça parle ?
Une équipe d'astronautes américains est partie sur une mission intersidérale. La vitesse qu'ils atteignent implique que le temps s'écoule plus vite sur la Terre que dans leur vaisseau, c'est un voyage sans retour.
Quand l'approche d'une planète met fin à leur hibernation et qu'ils se crashent comme des merdes dans un lac, ils découvrent une planète dirigée par des singes civilisés qui tiennent des humains en esclavage.
Et c'est comment ?
Le collapsologue : - C'est un peu la spécialité de Charlton Heston, le post-apo, finalement. Entre ce film, Soleil vert et The Omega Man, on sait maintenant avec certitude que si la fin du monde était arrivée avant les années 80 on aurait pu compter sur la présence de Charlton Heston.
L'anarchiste : - En plus, on est dans la période où il était "de gauche" (version américaine), avant de devenir un vieux grabataire réactionnaire fou de la gâchette. Le film ne se gêne pas pour aborder les questions sociétales de l'époque : racisme, guerre, créationnisme...
Un assez chouette film que je suis content d'avoir revu. Il est certes un peu lent selon les standards d'aujourd'hui, mais on ne s'y ennuie pas. Et je préfère voir les prothèses en latex des comédien.nes que de mauvaises images de synthèse.
Checklist
Lobotomie : oui
Statue de la Liberté : partielle
Ordinateur : non
Salut, ce n'est pas pas la version X ! , en plus bof bof....
RépondreSupprimerJe l'ai revu il y a quelques mois et je le trouve toujours très bon dans le fond (la forme a bien vieillie quand même). Un film qui mérite son tag de "classique"
RépondreSupprimerJe l'ai revu aussi il y a quelques mois et je confirme la très bonne tenue de ce classique vieux de plus de 50 ans : les maquillages valent bien mieux que les SFX d'aujourd'hui, la musique de Goldsmith est toujours aussi incroyable, les décors et costumes passionnants à décortiquer du regard, le rythme bien équilibré entre scènes d'action et passages dialogués.
RépondreSupprimerDu tout bon.