Angleterre, Etats-Unis, 1968
de Stanley Kubrick
d'après le roman de Arthur C. Clarke
avec : Keir Dullea, Gary Lockwood, William Sylvester, ...
De quoi ça parle ?
Heu.... D'humains. De monolithes. D'exploration spatiale. D'un ordinateur.
Et c'est comment ?
L'esthète : - C'est extrêmement beau. Très bien filmé. Les intérieurs de station spatiale sont incroyables (voir la scène du footing). Les maquettes de vaisseaux et de stations sont magnifiques. Je m'aperçois, un peu honteux, que je n'avais encore traité d'aucun film de Kubrick sur ce misérable blog.
L'obtus (légèrement grossier) : - Mais par contre, putain, je ne comprends toujours rien au film, bordel de bite ! Qu'est-ce que c'est que ces monolithes au juste ? Quel est le fucking message de ce bordel d'enculé de saloperie de vérole de chiottes de film ? Faudrait-il que je lise le livre pour comprendre, comme pour le Dune de Lynch ? Ou bien le film permet-il de comprendre le bouquin, comme Le Nom de la rose ?
Merde à la fin, un grand réalisateur fait paraît-il un grand film et moi j'y comprends rien ! C'est moi qui suis neuneu ou bien quoi ?
- Encore un film qui n'hésite pas à prendre son temps, mais qui réussit à fasciner simplement avec ses images.
- Même quand on ne comprend rien, bravo.
Checklist
Monolithes : oui
Ordinateur : oui
Marionnettes : non
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L'anarchiste : - Tu veux dire un truc ? Tu veux que je te prête ma VHS ? C'est ici que ça se passe. Exprime-toi. À priori je ne modère pas les commentaires. Ne m'y force pas, merci. Bisous.