mardi 23 août 2016

Le Survivant (The Ωmega Man), de Boris Sagal (1971)

États-Unis, 1971
Réalisation : Boris Sagal
Scénario : John William Corrington et Joyce Hooper Corrington
d'après le roman de Richard Matheson Je suis une légende
avec : Charlton Heston, Anthony Zerbe, Rosalind Cash, Paul Koslo, ...

De quoi ça parle ?


Après une guerre bactériologique, Robert Neville est le seul à s'en être tiré sans encombre. Les autres survivants ne sortent que la nuit, prêchent un retour à la très basse technologie et brûlent les restes de la civilisation occidentale détruite. Ce groupe, la Famille, et Neville tentent de s'entretuer à chaque occasion.

Ouaiiiis, tous les buter !

Et c'est comment ?


Le flemmard : - Bon, alors voilà, j'écris ça plusieurs jours après avoir visionné le truc et c'est plus très frais dans ma tête.

Le bourrin : - Les passages "action des 70's" sont assez fun, avec Charlton Heston qui tire dans tout ce qui bouge.

Ouaiiiis, pis conduire ma bagnole !


L'anarchiste : - Il représente ici toute la décadence occidentale et il l'assume à mort. Les autres veulent la fin de mon mode de vie, il faut donc que je les abatte.
En face de lui, la Famille, complètement fanatique et décérébrée n'est guère plus aimable, ce qui nous promet un film bien sombre, en tout cas avant qu'on ne rencontre d'autres survivants.
La fin christique m'a laissé un peu dubitatif, mais c'est au final un bon film, à conseiller à ceux qui kiffent le cinoche des années 70.
Hmmm, j'ai pas du assez tirer dans le tas...
Note globale : 4/6
L'oeil du pervers : 3/6
Blagues racistes balancées à la légère : 4 ou 5

 

Et si je veux le télécharger ? 

Tu peux le trouver chez Warning Zone, avec d'autres adaptations du même bouquin, en cliquant sur le Charlton Heston parkinsonien :


http://stalkerjany.blogspot.fr/2016/08/je-suis-une-legende.html

On peut jeter un œil ?

 

 




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L'anarchiste : - Tu veux dire un truc ? Tu veux que je te prête ma VHS ? C'est ici que ça se passe. Exprime-toi. À priori je ne modère pas les commentaires. Ne m'y force pas, merci. Bisous.