France, 1978
Réalisation : Claude-Bernard Aubert (sous pseudo)
Scénario : François Favre
avec : Brigitte Lahaie, Danièle Azzalini, Ghislain Van Hove, ...
fiche IMDb
De quoi ça parle ?
Avant d'épouser Marie-Christine, Frédéric feuillette les pages de son journal intime. Cela introduit des flashbacks qui servent d'excuses à une succession de scènes de cul.
Et c'est comment ?
Le romantique : - Un contrepoint total au film précédent dans lequel je me réjouissais que les personnages aient des raisons de coucher ensemble. Ici, le simple fait d'être dans la même pièce semble suffire.
L'obsédé : - Oui, certes, mais bon on n'est pas là pour l'histoire non plus.
L'esthète : - En effet, on est là pour Brigitte Lahaie.
- Tout à fait. Dès qu'elle est à l'écran, on oublie que l'histoire est à chier, que la photo est moche, que personne ne sait jouer, et que dans l'ensemble ce film est une bouse et on se contente de regarder son corps magnifique en action.
Décors différents : 2
Personnages correctement définis : 0



MERCI POUR CE FILM
RépondreSupprimertres bonne film x qui sors qui le chat qui fume bientot avec livre sur claude lesac
RépondreSupprimerSévère. Pour un Tranbaree, il est plutôt pas mal, sans égaler "Le droit de cuissage" ou "L'initiation d'une femme mariée".
RépondreSupprimerNe pas oublier les musiques "groovy" de Goraguer, qui font tant pour ce genre de films.
RépondreSupprimerJe me demandais... Pourquoi ces pornos-là (ceux chroniqués sur ton site) ? Hasard ou suite à des recherches ?
RépondreSupprimerBonne question. Sauf exception, je chronique les films que je vois en entier. Du coup déjà sont évidemment disqualifiées les scènes de cul qu'on trouve sur les tubes, le porno gonzo n'est pas du cinéma. Et disqualifiés aussi ceux qui ne m'intéressent pas assez pour être vus en entier.
SupprimerCa fait déjà un peu de ménage. Et si les boulards des années 70 à 90 sont majoritaires, je suppose que c'est parce qu'ils correspondent à ceux des boîtes à chaussure paternelles pleine de VHS qui firent mon éducation (anticipée) au genre en question.
En l'espèce, ici, c'est Brigitte Lahaie qui m'y a attiré, en tant que je la considère comme une des plus belles femmes ayant imprimé leur image sur une pellicule.
OK. Oui, j'ai constaté qu'elle est à l'affiche dans beaucoup des quelques que tu as commenté. L'argument de sa plastique est en effet recevable ;-)
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