États-Unis, 1975
Réalisation : Steven Spielberg
Scénario : Peter Benchley
d'après son roman
avec : Roy Scheider, Robert Shaw, Richard Dreyfuss, ...
De quoi ça parle ?
C'est l'ouverture de la saison touristique. Alors c'est pas une ou deux petites disparitions de baigneurs de rien du tout qui vont faire changer quoi que ce soit aux célébrations du 4-Juillet.
Et c'est comment ?
Le retardataire : - Hé ben tu me crois tu me crois pas mais je l'avais jamais vu !
Le bienveillant : - C'est bon, il n'est jamais trop tard pour bien faire. Alors ? Qu'est-ce qu'on en pense ?
- J'en pense carrément du bien. On dit souvent que c'est le premier blockbuster de l'été de l'histoire du cinéma.
Force est de constater qu'au regard des blockbusters d'aujourd'hui ça a l'air bien cheap. Cependant c'est encore, presque 50 ans après, très efficace, et sa légende n'est pas usurpée.
- On peut trouver qu'on voit trop peu le requin. Mais vu comment il marchait mal, c'est pas plus mal qu'on le voie peu. Les quelques plans où on le voit restent réussis et cachent extrêmement bien la misère. Ils font par contre bien moins flipper que tous ces plans où le requin est sous l'eau et où sa force se laisse voir au bout de cordes tendues.
Merci Spielberg pour cette pas vraiment nouveauté, c'était un vrai plaisir.
Checklist
Bidons : oui
Bain de minuit : oui
We're gonna need a bigger boat : for sure
Plans d'ensemble de New York by night : non
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L'anarchiste : - Tu veux dire un truc ? Tu veux que je te prête ma VHS ? C'est ici que ça se passe. Exprime-toi. À priori je ne modère pas les commentaires. Ne m'y force pas, merci. Bisous.