Australie, Etats-Unis, France, Angleterre, 2010
de Jane Campion
avec : Abbie Cornish, Ben Wishaw, Paul Schneider, ...
fiche IMDb
De quoi ça parle ?
Les dernières années de la vie du jeune John Keats, poète misérable de son vivant, reconnu depuis comme l'un des plus grands poètes romantiques de langue anglaise. On y suit sa relation avec Mlle Fanny Brawn, pour laquelle il écrivit le poème Bright Star.
Quand tu as Jojen Reed qui te suit partout, tu sais que l'histoire va mal finir... |
Et c'est comment ?
Le romantique : - Ah bah un poète amoureux ça vit sa passion de manière dévorante. Le film est joué avec justesse par des acteurs habités par leur personnage. La symbolique visuelle est assez forte aussi.
Le cartésien : - Mais bon, la poésie c'est pas toujours facile. On doit évidemment y perdre franchement beaucoup avec la traduction. Ce qui fait que je ne me suis pas fait emporter par le film autant que la réalisatrice l'aurait voulu. Je ne me suis pas ennuyé, mais je n'irais pas jusqu'à le recommander à des gens qui ne sont pas des fans de John Keats.
Note globale : 3/6
L’œil du pervers : 0/6
Test de Bechdel : 2/3
Papillons : ~25
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L'anarchiste : - Tu veux dire un truc ? Tu veux que je te prête ma VHS ? C'est ici que ça se passe. Exprime-toi. À priori je ne modère pas les commentaires. Ne m'y force pas, merci. Bisous.