États-Unis, 2013
de Chris Buck et Jennifer Lee
d'après La Reine des neiges de Hans Christian Andersen (mais de loin, hein)
De quoi ça parle ?
Elsa
et Anna sont les deux princesses héritières du royaume d'Arendelle et
elles sont très proches. Elsa, l'ainée, est capables de créer du froid à
volonté. Un jour, en jouant, elle blesse sa petite sœur Anna. Elle est
sauvée par des trolls, mais pour la préserver, tous les souvenirs de
magie ont été effacés de sa mémoire. Elsa, elle, devra cacher ses
pouvoirs toute sa vie. Si elle le peut.
Et c'est comment ?
Le papa : - Libéréééééée ! Délivréééééée !
Qui n'a pas entendu cette chanson chantée en boucle par des enfants ? Ceux qui ne fréquentent pas d'enfants. Soit.
Je
me suis décidé à regarder ça avec ma fille, pour comprendre en quoi
c'était si passionnant. Et ben c'est pas mal du tout au final. Rythmé,
pas idiot, et bien sûr dégoulinant de bons sentiments sur la valeur de
l'amour et gnagnagna. C'est sûr qu'on n'y échappe que rarement dans les
trucs pour enfants.
Le féministe
: - Sans aller jusqu'à soutenir que ce dessin animé est une œuvre
féministe, on remarque des personnages féminins moins creux et plus
crédibles que par le passé. On peut noter quand même un petit
retournement du cliché du prince charmant, c'est toujours ça de pris.
-
Ça ne sera certainement pas mon nouveau dessin animé préféré mais on
fait vraiment plus nunuche. Vous pouvez montrer ça à vos enfants.
Note globale : 4/6
L’œil du pervers : 1/6
Test de Bechdel : 3/3
Golems de neige : 2
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L'anarchiste : - Tu veux dire un truc ? Tu veux que je te prête ma VHS ? C'est ici que ça se passe. Exprime-toi. À priori je ne modère pas les commentaires. Ne m'y force pas, merci. Bisous.