États-Unis, 1986
de Katherine Kerr
De quoi ça parle ?
Dans un royaume de culture celtique, on suit un maître de dweomer qui cherche à réparer certains torts qu'il a causé, quitte à les réparer auprès des incarnations suivantes de ses victimes.
Et c'est comment ?
Le mystique : - C'est intéressant d'apprendre que le Celtes croyaient en un concept complètement identique au karma.
Le romantique : - L'histoire est bien pensée et intéressante.
Le réaliste : - Mais le monde n'a rien d'original. La traduction est maladroite. Soyons clairs, je ne vais pas me taper la suite.
Note globale : 3/6
Premier paragraphe
Dans le Hall de Lumière, ils lui rappelèrent sa destinée. Là, tout était lumière, d'un or palpitant tel le cœur de la flamme d'une bougie, emplissant l'éternité. Les orateurs étaient des piliers de feu dans la lumière ardente et leurs mots des étincelles. Eux, les grands seigneurs du Wyrd. Ils n'avaient ni visage ni voix, car à force de résider dans le hall de lumière, tout ce qu'ils avaient d'humain avait depuis longtemps brûlé. Elle n'avait ni visage, ni voix non plus, car elle était faible, petite lueur d'une flamme blafarde. Néanmoins, elle les entendait lui parler de sa destinée, de la longue route qui l'attendait, du fardeau qu'elle devait porter, et tout cela de plein gré.
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L'anarchiste : - Tu veux dire un truc ? Tu veux que je te prête ma VHS ? C'est ici que ça se passe. Exprime-toi. À priori je ne modère pas les commentaires. Ne m'y force pas, merci. Bisous.