Etats-Unis, 1991
de James Cameron
avec : Arnold Schwarzenegger, Linda Hamilton, Edward Furlong, Robert Patrick...
De quoi ça parle ?
Sarah Connor est à l'hôpital psychiatrique. A force de répéter à tout le monde ses histoires de robots tueurs venus du futur, ça devait arriver. Elle n'est donc pas disponible dans l'immédiat pour sauver son fils adolescent, John Connor, futur sauveur de l'humanité, des griffes du T-1000 que Skynet a envoyé pour le tuer, en 1994. Heureusement, le John du futur a envoyé un T-800 pour se protéger lui-même. (On suit toujours au fond ?)
Et c'est comment ?
Le bourrin : - Le voila ! LE film d'action qui tue ! Un des premiers (le premier ?) blockbusters à effets spéciaux numériques. Un festival de coups de poings qui traversent le corps, de véhicules détruits, et de robots indestructibles.
Schwarzy fait des étincelles (haha) en reprenant son rôle, mais celui qui marquera le plus les esprits, c'est Robert Patrick, brillant dans le rôle du T-1000.
L'enfant : - C'est peu de dire que ce film a bercé ma jeunesse. Et il tient remarquablement bien l'épreuve du temps. J'ai eu un grand sourire plaqué sur ma gueule pendant quasiment tout le film.
Oui, voilà, exactement comme ça |
L'ado : - J'ai adoré le côté rebelle de merde du jeune John Connor, qui pirate un distributeur de billets pour se payer une journée aux jeux d'arcade. Paye ton voyou merdique.
Le Doc Brown : - Du strict point de vue cohérence de la timeline, avec les épisodes 1 et 2 on est quasiment sur du sans-faute. (Bah quoi ? Ouais, j'ai dit quasiment)
Note globale : 5/6
L’œil du pervers : 2/6
Test de Bechdel : 2/3
Racailles à deux francs : 2, dont John Connor
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L'anarchiste : - Tu veux dire un truc ? Tu veux que je te prête ma VHS ? C'est ici que ça se passe. Exprime-toi. À priori je ne modère pas les commentaires. Ne m'y force pas, merci. Bisous.