lundi 17 novembre 2014

Abel, d'Alex van Warmerdam (1986)

 

Pays-Bas, 1986
de Alex van Warmerdam
avec : Alex van Warmerdam, Annet Malherbe, Henri Garcin, Olga Zuiderhoek, ...


De quoi ça parle ?

Le flemmard : - Une famille dysfonctionnelle, dont le fils, Abel, trente et quelques années, n'est pas sorti de la maison depuis 10 ans. Il est effrayé par le monde extérieur et se fait passer pour plus bête qu'il ne l'est auprès des psys.

Et c'est comment ?

L'esthète : - Les moments de malaise sont très bien rendus. Notamment une scène où les parents invitent une jeune fille pour essayer de la caser avec leur fils. On n'aimerait pas être à sa place.

Le cartésien : - Je suis resté sur ma faim quand même. On se demande quel est le message du film. Ou alors je n'ai pas compris la fin, on dirait que ça bascule dans le surréaliste et ça m'a tout perdu.

L'obsédé : - On voit un petit peu de chair fraîche, mais franchement ce n'est pas l'objet du film, malgré des scènes de peep-show, tout cela est bien sage

Le féministe : - Le personnage le moins tordu du film est une femme. C'est celle qui bosse dans un peep-show. La note du film sur l'échelle de Bechdel est de 2 sur 3, mais vu le niveau de communication interpersonnelle dans le film, on ne pouvait pas s'attendre à mieux.


Note globale : 4/6
L’œil du pervers : 2/6
Test de Bechdel : 2/3

On peut jeter un œil ?




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L'anarchiste : - Tu veux dire un truc ? Tu veux que je te prête ma VHS ? C'est ici que ça se passe. Exprime-toi. À priori je ne modère pas les commentaires. Ne m'y force pas, merci. Bisous.